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Lou Coum - Speakeasy

by Lou Coum - Louis Coumian - King Louis

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1.
Welcome to Lou Coum (paroles & musique de Lou Coum a.k.a Louis Coumian) Dans un monde terrifiant comme le Golem, torturé comme Gollum, A cheval entre schkoumoune et schoune, Si la paix est avec toi, shalom, salam aleykoum, Welcome to Lou Coum, A tous les fanas de Boom Bap qui tape à la Temple of Boom Ou des ‘whop bap-a-lu whap a bam boom’, Des sons de Dark Side of the Moon comme des gammes d’Art Tatum, Welcome to Lou Coum, Regarde-moi ces bling-blings qui friment des Philippines à Cancun, Rails de cocaïne, coupes de Mumm, Si tu souhaites comme moi que les requins fassent le ménage dans les lagoons, Welcome to Lou Coum, Allergiques au régimes militaires à la Rangoon, A vous les Gambetta, Blanqui, Blum, (vous les aung san suu kyi, ban ki moon) Aux victimes de tous les pogroms ou du Malleus Maleficarum, Welcome to Lou Coum, Alors si tu sais où dans la voiture se cache le Yukunkun, Si tu kiffes Sophie Marceau depuis La Boum, Et si tu arrives à extraire Excalibur de son enclume, Welcome to Lou Coum Ladies & Gentlemen Please be welcom to Lou Coum
2.
Crazy Daisy 03:37
Crazy Daisy (paroles & musique de Lou Coum a.k.a Louis Coumian) Je sors avec une fille du Crazy, Une sirène de scène qui a pour nom Daisy, Elle fait l’effet d’une rafale d’Uzi, Quand elle danse sur son air de Count Basie, Elle strip mais c’est d’un chic, C’est une bombe anatomique, Qui vit dans un monde Erotic-Fantasy, Le soir dans son petit appart’ cosy, Je dévore son corps c’est la frénésie, Elle se cabre, je m’emballe, C’est une Mustang infernale, Nos numéros de Rodéos tiennent de l’excstasy, REFRAIN Quand je sors avec ma copine du Crazy, Dur dur de rester tout cool comme Fonzy, Elle enclenche, déclenche tant de jalousies, Quand elle se déhanche sur du Jay-Z, Elle trippe c’est magnétique, Aux étalons moi je fais la nique, Quand du haut de ses talons c’est moi qu’elle choisit, Maintenant que je sors avec cette fille du Crazy, Avec mes potes je me la donne easy easy, Faut dire que c’est le top des target, Le vrai jackpot 7-7-7, Ne pas l’aimer ce serait de l’hérésie, faudrait être fou ! REFRAIN Mais depuis peu quand je téléphone à maDaisy, Ou bien y’a personne ou bien ça sonne busy, Si elle me quitte je serai tellement bluesy, Qu’il faudra que je sois frappé d’amnésie, Pour ne pas que je me damne, A ressasser la mort dans l’âme, Toutes ces nuits où je me faisais Daisy, Pour ne pas que je me damne, A ressasser la mort dans l’âme, Toutes ces nuits où je ne me faisais que des illusions.
3.
Madame la Marquise (paroles & musique de Lou Coum a.k.a Louis Coumian) Allô bonsoir chère madame, Lou Coum à l’appareil, Quel immense honneur pour ‘oim’ de vous donner des nouvelles, Ici-bas tout suit son cours, on se mondialise, Les vautours roucoulent et les couleurs se darkisent, Le climat général est à l’agonie, Pour le corail, les abeilles et tant d’autres c’est déjà parti, En un mot, l’espoir comme la banquise : s’amenuise, Mais tout va bien Madame la Marquise, Les funambules déambulent sur des fils barbelés, Les bébés s’allaitent à l’obus, la vertu se fait entuber, En drogue : double la dose, au jeu : double la mise, Abus d’alcool et les gosses passent par le pare-brise, L’Amour lui s’éclate, s’adonne au chat, Harcelé par des tubes, des pubs, des sites qui excitent bites et chattes, En résumé, on baise, puis, on se fait la bise, Mais tout va bien Madame la Marquise, Des révolutions à lever le poing ont rendu les mains moites, A des générations d’anciens depuis tous passés à droite, Adieu leur aide pour revivre le Temps des Cerises, Ce qui fait que sans eux, on n’a que droit aux Temps des Crises, Voilà chère madame où en sont à peu près les nouvelles, Cependant sachez-donc en vue de votre prochain appel, Que quelques mauvais plaisants dès-à-présent prédisent, Qu'on frise la fin du monde, Madame la Marquise, Mais jusqu’au bout sur les photos on fera toujours : Cheese ! Car tout va bien Madame la Marquise. En vérité, tout penche comme la Tour de Pise, Mais tout va bien Madame la Marquise, Certains vivent dans des taudis quand d’autres vivent dans les Keys, Mais tout va bien Madame la Marquise, On pleure encore la croissance des Sixties, Mais tout va bien Madame la Marquise, La paix se prête à la tentation de Venise, Mais tout va bien Madame La Marquise,
4.
Quand tu me parles en anglais (paroles & musique de Lou Coum a.k.a Louis Coumian) Toi la fille aux yeux doux, Aux cheveux châtains roux, Autochtone d’Angleterre, A peine sur mes rivages, Que tu dissipais l’orage, Et mon automne austère, Mais de tous tes pouvoirs, Il en est un renard, Qui t’échappe et me plait, Quand tu me parles en anglais, Tu as ce « je ne sais quoi » dans la voix, Qui me fait fondre à chaque fois, Quand tu me parles en anglais, C’est comme si tu faisais foi de la Loi, Et promulguais le Nirvana, (Pourtant) Tant de passé nous hante, Toi la fille d’Albion prudente, Et moi le fils d’Hexagone fier, De Guillaume à Richard, D’Azincourt en Trafalgar, Tant de fantômes en guerre, Mais que Dieu sauve leurs mémoires, A l’heure où l’Eurostar, Te pose sur mon chevet, D’où tu me parles en anglais, Avec ce « je ne sais quoi » dans la voix, Qui me fait fondre à chaque fois, Car quand tu parles en anglais, C’est comme si tu étais my lady et moi, Ivanhoé, Robin des Bois, Quand tu me parles en anglais, (3 fois) Je suis roi, Louons de nos langues chéries, Dans une french-kiss causerie, Ton Shakespeare mon Molière, Et s’il m’arrivait le pire, Avant que je n’expire, Je ne formulerai qu’un souhait, Que tu me parles en anglais, Avec ce « je ne sais quoi » dans la voix, Qui me fera fondre une dernière fois, Car quand tu parles en anglais, C’est comme si tu revenais droit de l’au-delà, En me disant : « ne t’en fais pas », Quand tu me parles en anglais, ( Je suis coi Quand tu me parles en anglais, Je suis moi.
5.
Le Vieillard 03:23
Le Vieillard (paroles & musique de Lou Coum a.k.a Louis Coumian) Toi le vieillard, derrière tes lunettes noires, A l’air familier, déjà vu quelque-part, Qu’est-ce qu’un type comme toi, peut bien venir faire par ici, Un petit pourquoi qui sent déjà fort le roussi, Toi l’ancêtre, toujours les valises prêtes, C’est donc sur toi que tous les journaux font leurs entêtes, Malgré tes cheveux d’un blanc immaculé, Je reconnais bien là le pire des enculés, Il court, il court le vieillard, Il court, il court, regarde comme il court… Toi le vieillard, fuyard de l’Histoire, Tatoué de toute part des horreurs de tes heures de gloire, Au fond de ton barda, tu caches tes médailles de sang, Ton uniforme et la mort de tant d’innocents, Toi le grand-père, tortionnaire d’hier, Qui passe les frontières, escorté par des militaires, Tu ne respectes rien, même pas le noir de la nuit, Avec les gros phares de l’auto dans laquelle tu t’enfuis, Il court, il court le vieillard, Il court, il court, regarde comme il court… J’espère, le vieillard, qu’un jour tu iras t’asseoir, Au tribunal pour te faire disséquer la mémoire, Et que même à jouer les séniles, déguisé en civil, On te fera deux belles photos : une de face, une de profil, Mais toi le barbon, protégé par des sales cons, Réchappé de toutes les demandes d’extradition, Si tu ne vas pas à La Haye, tu n’iras pas non plus là-haut, Les Dieux ne veulent pas chez eux des plus hideux des salauds, Alors toi le vieillard, qui te crois peinard, Qui dort dans une villa au lieu d’être au mitard, Sache que même si tu échappes à ta condamnation, Tu n’échapperas pas à la damnation.
6.
Mic Mac 04:28
Mic Mac (paroles & musique de Lou Coum a.k.a Louis Coumian) Sur ma musique, avec mon BIC depuis le BAC, J’critique l’époque épique et la politique opaque de l’OPAC, J’dors dans un clic-clac, mange cheap et pas chic, Au Quick, ou au Do Mc, un Big Mac ou un Long Chick, C’est pas diététique, avec mon Six Pack, J’bisque en attendant de voir mes disques à la FNAC, Shit et Crack, Prozac pour les prozaïques, Les jeunes braquent détraqués par les murs de briques,
What’s up doc au pays du cognac ? Encore trop d’regards obliques et d’travail au black, Ca racle les fonds de poëles et ça se gratte les tics, Les gens raquent, finissent en vrac par manque de fric, Comme Majax magique, logique comme Kojac, Dans Sésame, j’donne un kick et vole les 40 voleurs du CAC, Si peu d’éthique, que tout ça vire à l’arnaque, Cynique et puis comique comme l’Amérique de South Park, Ah cette vie est un sacré mic mac, Au rythme du trottement du tic tac, Chanceux sont ceux qui s’en sortent ric rac, Vu que c’est de brique et de broque qu’est fait ce bric à brac, Je continue ma chronique, véridique comme Balzac, J’pleure les Maliks tués par les flics leurs sangs en flaque, D’autres tombent pour un fric frac, armés d’un cric, Quand on sait ce que Cahuzac aura caché au FISC, République en échec, mec y se passe oiqu ? Une France en manque de père critique comme Télémaque, Black Jack et Tacotac rendent les mecs psychotiques, Avec la carotte d’un jackpot hypothétique, Guerre Froide idéologique, ou pour remplir ton sac, Mc Carthy ou PC, PC ou Mac ? Les FIAC et les FRAC sont pleines d’art qui rend stoïque, Qui coutent des plaques et que des gens claquent comme ils font les boutiques, J’veux pas me battre pour un SMIC, moi j’veux des smacks, Et niquer des grosses bombes atomiques dans mon hamac, Un avenir tragique ? J’en ai déjà le trac, Rien qu’à voir le futur de K.Dick sur du Kodak, REFRAIN
7.
La Seine 03:49
La Seine (paroles & musique de Lou Coum a.k.a Louis Coumian) Egaré dans mon parcours, alourdi par la flemme, je pourris dans ma peine, Du coup je cours faire un tour, là où mes pas me mènent, et tombe sur la Seine, Elle suit son cours, sans grand discours, toujours calme et sereine, quand la ville se démène, Et me libère des mauvais tours que me jouent mes jours de gêne, comme par magie soudaine, Ah ce qu’elle m’attendrit la Seine, Avec ses silures pour seules sirènes, Qui chantent jusqu’à Suresnes, Dans une eau d’un vert terne, De beaux vers de Verlaine, Cœurs légers et cœurs lourds, se croisent et se promènent, sur les bords de la Seine, Comme les péniches aux moteurs sourds, qui s’en vont qui s’en viennent, tour à tour, vides ou pleines, J’attends que le vent fasse un tour, afin qu’il me ramène, les mots des gens qui s’aiment, J’y entends comme des « bonjour », des « toujours », des « Karen », et des « auf wiedersehen », Ah les amours mènent à la Seine, Qu’on les vive ou qu’on s’en souvienne, Elles s’y parent de suprême, Transformant en Eden, L’enfer de nos vies urbaines, A voir le fleuve longer les tours, ronger ses rives anciennes, peu à peu me parviennent, Des échos de cris des faubourgs, des vœux de vies lointaines, par le temps mis en berne, Des vues d’invasions de vautours attirés par la Seine, par le sang mis en scène, Des odeurs de soufre et de poudre de révoltes souveraines, comme seul Paris sait mettre en germe, Faut dire qu’elle en a vu la Seine, Comme couronnements, comme fins de règnes, Comme époques à la chaîne, Qui s’écoulent et s’éteignent, Comme le sang dans nos veines, Oui comme couronnements, comme fins de règnes, Comme époques à la chaîne, Qui s’écoulent et s’éteignent, Comme le sang dans mes veines, La Seine.
8.
American Dream (paroles & musique de Lou Coum a.k.a Louis Coumian) Elle claque des talons, clic clac sur le parterre, Elle bosse au claque au coin de la 9ème et de Tompkins Square, Elle aguiche les drôles, d’un regard noir aux yeux clairs, Elle a les gambettes les plus chouettes de toute la ville, Mieux que celles des starlettes de Burlesque ou de Vaudeville, Elle mériterait le premier rôle dans un Cecil B. De Mille, Moi depuis mon fire escape, Je la regarde faire son numéro, Et quand j’ai fini mes cigarettes, Je vais rêver d’elle en vendant les journaux, Elle s’appelle Rita, New York lui court au derrière, Des kids aux soldats, des maris jusqu’aux gangsters, Des joueurs de base-ball, paraît même des millionnaires, C’est peut-être une vedette mais elle doit rester servile, A son proxénète, une tête de con, un débile, Mais c’est Vincent Coll, ‘le chien fou’, un vrai devil, Moi derrière mon fire escape, Je mets de côté l’argent de mes journaux, Quand j’aurai assez de pépettes, J’inviterai Rita à sortir en duo, J’irai la prendre à 8 heures, Je l’emmènerai au diner, Manger des hamburgers à gogo, Puis on ira chez Sammy’s, On dansera comme aux Follies, En buvant des Curaçaos, Elle m’apprendra tout de l’Amour, On se quittera au petit jour, En se disant : « I love you so ! » Tonight c’est le grand soir ! Aïe, ça va être d’enfer ! Bye bye la féraille ! Hi jolis billets verts ! Mais qu’est ce que c’est que ce people, qui s’affaire sur le corner ? Paraît que ma Rita aurait tiré sur un clille, Le genre pervers, mais dont le père est une huile, On l’a retrouvé dans sa piaule, à poil, une balle dans la bille, Moi du haut de mon fire escape, Je regarde mon rêve filer dans le caniveau, Je range mes dollars sous la couette, Et sombre seul la gueule collée au goulot, Je m’en fous j’irai à Sing Sing, Faire évader ma darling, Et on s’enfuira dans l’Idaho, Mais quand j’ai revu son visage, Ce ne fut qu’ en photo pleine page, A la une de mes journaux, C’était un vendredi 13, Ils l’avaient mise sur la chaise, Moi, j’ai changé de boulot.
9.
Je n'oublie rien (paroles & musique de Lou Coum a.k.a Louis Coumian) Il règne dans mes gènes comme un symptôme bien intriguant, Qui me sert et me gêne dans le même temps, En effet depuis l’âge d’à peu près 5 ou 6 ans, Je me souviens de tout c’est affolant, Ma tête est une bibliothèque, un stock d’enregistrements, Où ma vie s’archive automatiquement, Tout ce que j’vois, touche, goûte, sens, entend s’range en magasin, Et la petite voix, tout au fond de moi chante à tue tête avec entrain, Tu n’y peux rien, Tu n’oublies rien, Tu te souviens des grands « tout » comme des petits riens, Tu es un fou, Qui retient tout, N’importe qui, quoi, quand, où, tout te revient, Je mémorise des trucs ridicules, et des séries de machins, Les Douze Travaux d’Hercule ou les noms des Sept Nains, Pas besoin de répertoire, de pense-bête, de post-it ou de calepin, Si j’y pense une fois, ça reste écrit là, c’est sympa pour le quotidien, Mais il en va de même avec les pires souvenirs même lointains, Mes humiliations, mes petites peines ou mes gros chagrins, Mes échecs face aux belles dont je n’ai pas su prendre la main, Me hantent soudain à n’importe quelle heure, du soir, du midi, du matin, Je connais les films et les livres par cœur du début à la fin, Sur le bout des doigts les chansons, couplets, refrains, C’est une forme d’autisme dont je frime mais qui m’ brime putain, Avec tout ce que j’imprime, je déprime, comprenez que je me sente pas bien, Refrain Pour altérer ma mémoire, j’ai tenté de boire, de fumer des joints, J’ai consulté tous les bardes, tous les médecins, Mais face à leur impuissance, c’est avec impatience et d’espoir plein, Que j’attends le sauveur : Alzheimer qui me donnera la paix enfin, Refrain
10.
Sarah 01:27
Sarah (paroles & musique de Lou Coum a.k.a Louis Coumian) Sarah a les cheveux et les yeux Chocolats, Et en leurs milieux des pupilles Vanille, Qui lui donnent cet air de fille des îles, Bien qu’elle soit née ici et non pas là-bas, Sarah a les reins et les seins Coco Noix, Sa peau Cacao tachetée de grains Mokas, Recouvre ses lignes de gamine Praline, Aux joues Acajou que je pleure et rumine, Quand je suis ici et qu’elle va ci ou là, Sarah, ses cuisses Réglisses, son air Arabica, Ont fait d’elle une Miss dans mon cœur délicat, Fruit de ma Passion exotique, érotique, Que je garderai d’ici une fois dans l’au-delà.
11.
Le Grand Méchant Lou (paroles & musique de Lou Coum a.k.a Louis Coumian) Je suis le Grand Méchant Lou, Je sors de ma tanière à l’heure où hululent les hiboux, A travers la brume, la Lune luit sur moi, Je cours sur les roches brunes et tous les sentiers des bois où j’habite, Je suis le Grand Méchant Lou, Ma mauvaise réputation me précède partout, Sur mon poil noir de jais, mes yeux jaunes feu de bois, Donnent même au pire des ours une frousse digne d’une proie, c’est comique… Car je ne suis pas si méchant, Je ne suis qu’un chien errant, Sans dieu ni maître, hésitant, Je m’éclipse à l’ombre du soleil levant, Je suis le Grand Méchant Lou, Vous les hommes avez fait de moi votre grand refoule-tout, Sur mon dos tous les maux de vos « Il était une fois », A leurs têtes ce Chaperon Rouge que je ne connais même pas, bande d’hypocrites… Je suis le Grand Méchant Lou, J’ai fondé Rome, sauvé Mowgli, mais de ça on se fout, Vous criez : Au loup ! alors que je crie : A moi ! Des torches, des fourches et des pièges voilà ce à quoi j’ai droit, pathétique… Pourtant j’aime tant le chant, D’une mère à son enfant, La magie de vos vingt ans, Vos dolmens, vos poèmes et vos monuments, Mais rien ne change et je reste le Grand Méchant Lou, A croire que de moi vous êtes tout simplement jaloux, Il est un doux rêve que je caresse toutefois, Où votre haine en grève on se tomberait dans les bras étant quittes… Mais à vous voir m’entourant, Ignares, saouls, ivres de sang, Mis en joue par vos enfants, Je m’effondre dans un dernier hurlement.
12.
La Fin 02:45
La Fin (paroles & musique de Lou Coum a.k.a Louis Coumian) Ah ce que c’était bien, c’était Lou, c’était bien, Ah oui c’était bien, c’était cool c’était bien, Ah ce que c’était bien, c’était vous, c’était bien, Ah oui c’était bien, c’était nous, c’était bien, et c’était loin… Mais c’est la fin, Le rideau peut descendre, C’est la fin, Et le bois devient cendre, C’est la fin, J’en ai marre de t’attendre, C’est la fin, Et je commence seulement à comprendre, Ah ce que c’était bien, c’était doux, c’était bien, Ah oui c’était bien, c’était fou, c’était bien, Ah ce que c’était bien, c’était court, mais c’était bien, Ah oui c’était bien c’était tout, c’était bien et c’était loin… Mais c’est la fin, Il n’y a plus rien à prendre, C’est la fin, Comme un 31 décembre, C’est la fin, Terminus il faut descendre, C’est la fin, Et je commence à comprendre, Mais c’est la fin, S’écroule ce qu’il faut défendre, C’est la fin, Il n’y a plus qu’à se rendre, C’est la fin, A l’aube ils viendront nous pendre, C’est la fin, Et tu commences seulement à comprendre.

about

Nouvel Album de Lou Coum
Sortie Digitale, CDs & Vinyls le 28 mars 2017
Available on Digital Platforms, CDs & Vinyl on march 28 2017

credits

released March 28, 2017

Réalisé par Lou Coum a.k.a Louis Coumian
Enregistré & Mixé par Fernando Pereira-Lopes aux Studios Davout - Paris
Masterisé par Bruno Gruel pour Elektra Mastering

Chansons écrites, composées & interprétées par Lou Coum
Pianos : Philippe Monange
Guitares, Banjo : Florian de Junnemann
Contrebasse : Serge Turetta
Batterie : Christian Templet
Fender Rhodes sur Madame la Marquise, Piano sur Le Grand Méchant Loup & La Fin : Hubert Le Tersec
Fender Rhodes sur La Fin : Lou Coum

Saxophone Ténor Soliste : Christophe Cagnolari
Saxophone Ténor : Bruno Baggins
Trompette : David Enco
Trombone sur Quand tu me parles en anglais & Je n'oublie rien : Marcus Gang
Trombone sur Crazy Daisy : Michel Pinero
Arrangements Cuivres : Philippe Monange & Lou Coum

Accordéon & Bandonéon : Henry Lemarchand
Scratchs sur Madame la Marquise : Mighty Jay from Donkey Dunker
Vibraphone sur Le Grand Méchant Loup : Christian Templet
Petites Percussions : Lou Coum

Chant Refrains sur Je n'oublie rien : Sarah Zeppilli
Vocal solo sur Mic Mac : Serge Turetta
Choeurs sur Welcome to Lou Coum, Quand tu me parles en anglais & Madame la Marquise :
Chicki, Mighty Jay, Florian de Junneman, Serge Turetta, Sarah Zeppilli & Lou Coum
Les pianos Fazioli & Blüthner ont été accordés par Monsieur Vincent Guyon

Photos Pochette : Jay See
Photos Livret : Miguel Sanchez-André, Philippe Granier & Chicki
Artwork : Pierre-Alexandre Loy a.k.a SpasmDesign

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Lou Coum - Louis Coumian - King Louis Paris, France

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