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Dr​ô​le d'Epoque - LP -

by Louis Coumian a.k.a Lou Coum

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    Louis Coumian : Drôle d'Epoque - Full Album 12 Tracks Edition contenant 2 Bonus Tracks
    Inclus : LIvret 12 Pages avec paroles & crédtis

    1. Les Plis
    2. Drôle d'Epoque
    3. Marine Lola
    4. Une Autre Vie
    5. Gentleman Hacker
    6. Statues Quo
    7. Rouge
    8. Dors d'Or
    9. Jeune Fille Stylée
    10. Crimes Fer
    11. Le Placebo
    12. Enzo

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1.
DROLE D'EPOQUE - Paroles & Musique : Louis Coumian Y’a trop de choses à dire mais y’a pas assez de temps, Drôle drôle d’époque, qui déraisonne, Y’a trop de choses à gueuler mais y’a déjà tant de boucan, On se frôle on se pique alors slalome entre les hommes, Y’a trop de choses à faire mais y’a pas assez d’argent, Pas assez de chansons et trop de feuilles mortes Trop de conneries lachées sans le pourquoi ni le comment, Et si on rigole c’est sous alcool ou stupéfiant, Alors on tombe vers le haut, Sers les dents ou sors les crocs pour ta peau, Quand y’a plus de sens mais que des mots, Regarde en bas, Y’a plus rien à laisser derrière toi, Pourtant je te vois, être le suivant, Difficile de croire qu’après la pluie vient le beau temps, Drôle drôle d’époque, qui s’empoisonne, Y’a peut-être trop d’hiver et plus assez de printemps, Quand sous les ponts sur les bancs y’a trop de gens qui dorment, Et ce monde qui s’écrit comme il se construit noir sous blanc, Drôle drôle d’épôque les manières ne sont plus bonnes, Vas voir si les rats ont pas déjà foutu le camp, Y’a plus de voisins, d’amis y’a plus que des concurents, Refrain Peut-être qu’on regrettera notre monde tel qu’il est maintenant, Quand notre époque, elle sera d’époque, Peut-être que pour ses plaies ils auront trouvé des pansements, J’en doute j’en doute puisqu’ils s’en foutent comme de l’An Quarante, Arrête de croire, enfin arrête toi à temps, Notre drôle d’époque qui s’emprisonne, Qui conjugue au conditionnel et plus au présent, Ce qui fait que l’époque elle défile au fil des cheveux blancs, Refrain
2.
Marine Lola 03:49
MARINE LOLA - Paroles & Musique : Louis Coumian L’une est blonde, l’autre est châtain rouquine, Entre noires et blanches sur le clavier de mon piano, En mi en la, Lola prône sur ma rime, Marine préfère vivre en Ré sur le dos, J’me jette à l’eau, Je crois bien que j’ai le coeur gémeaux, Même quand je suis avec Lola, je suis quand même en marinière, A elles deux elles feraient craquer tous les gars de la marine, Elles aiment que les non-ayant droits d’allocations calot, A moi elles me font plus d’effet que Lolita, Marilyn, Si j’étais roi elles seraient reines car je les aime en lot, Mama Lolo, Je crois bien que j’ai le coeur jumeaux, Dans mes deux sphères, en binaire, Du haut de mon stylo, pour leur dire « vous » moi je leur dit « toi », Marine Lola, ne forment qu’une seule Lorine pour moi, Comment vivre à trois ? Selon les lois d’alliance fécondes, Car moi je peux pas, choisir une première une seconde, Marine Lola ! Comment va-t’on faire dans ce monde ? J’aime leurs narines leurs yeux marrons bleus marine, Même si leurs canines, leurs crocs me rendent palot, La combine c’est que je suis Pierrot avec Marine ma Colombine, Et qu’avec Lola Karina l’Arlequine je suis Fou comme Pierrot, Allo ! A l’aide ! Allo ! Je crois bien que j’ai le coeur trop gros, Même quand je suis avec Marine je chante « tralaLolalère », Si marine fait la hola, c’est que Lola marine, Bloody Mary, Gin, Whisky Cola puis l’hosto, La solution ce serait qu’elles m’assassinent, Mais leurs carabines tirent que des balles à salauds, Pas de pot, vraiment pas de pot, Je crois bien que j’ai le coeur trop chaud, Qu’est-ce que je peux faire ? Je sais pas quoi faire ! Tirer le rideau sur l’une, sur l’autre, sur nous, je peux pas ! Marine Lola, ma contrée où je vagabonde, Ni Marie, ni Leïla, non juste mon vague à blonde, Marine Lola, pour vous passer la bague à l’ombre, On s’expatriera en Poligamie profonde ! Et retenez petits et grands, Qu’ils vécurent deux fois plus heureux et eurent deux fois plus d’enfants.
3.
UNE AUTRE VIE - Paroles & Musique : Louis Coumian Au hasard des couloirs ton nom résonne comme ton regard hante encore l’appartement, Qu’évoque la horde sans fin de mes lendemains sans les tiens dans ce lit devenu trop grand, Notre Amour qui gravé sur le marbre l’aurait transformé en arbre tant il était vivant, Ne suffit pas au pas de la porte, d’où plus que jamais belle et forte, tu partis en me disant, On se retrouvera dans une autre vie, On se retrouvera dans un autre temps, On se retrouvera dans un autre lit, Portés par un autre vent, Mais faudrait-il croire à ces mots si tu ne récitais pas tout haut les lignes d’un roman ? Et devrais-je en maudir nos Lunes de Miel, moi qui n’ai que faire que de faire l’abeille qui pique et meure en même temps ? Enfin ne pleures-tu pas folle blonde en voyant tourner le monde où ne danserons jamais nos enfants ? Mais à te voir garder close-porte et à en croire nos années mortes, vaincu j’attends me convaincant, Qu’on se retrouvera dans une autre vie, Qu’on se retrouvera dans un autre temps, Qu’on se retrouvera dans un autre lit, Portés par un autre vent, Mais le temps a ses secrets pour faire naître des après la mort des avants, Et comme le soleil quand il a plu m’apparait ton amour qui ne fut que de m’aimer en m’humiliant, J’ai tellement raison que tu en as tort et ne m’étonne pas de tes remords à l’heure du bilan, Mais si jamais tu frappes à la porte, que le diable t’emporte, qu’il te mette au courant, Qu’on s’est trouvés dans une autre vie, Qu’on s’est trouvés dans un autre temps, Qu’on s’est trouvés dans un autre lit, Portés par un autre vent.
4.
GENTLEM@N HACKER - Paroles & Musique : Louis Coumian Loin du bruit des Affaires, A l'abri et sans salaire, Je dévoile mon caractère, de Gentlem@n Hacker, Des Lands j'ignore les frontières, Des langues je casse les barrières, Anonyme Monsieur Mystère, je navigue undercover, Mais je laisse tranquille tes Softwares, Ethique je n'ai que faire, Des sites de cul de ton père et des mails de ta petite soeur, Car ma motivation première, Est de déshabiller de défaire, Les systèmes sécuritaires, oui je suis un ordimatteur, Pour profiter de Hardware, Des bécanes célibataires, Je flatte leurs Cartes Mères avec des JPG en fleurs, J' Excel avec les données de secrétaires, Que je prends sur le Bureau d'un Click par derrière, Mais je sors toujours couvert même si j'ai Norton comme Docteur, Quand une machine fait sa mégère, Ou qu'un Modem s'affirme réfractaire, J'envoie des "Pop Up Surprise" l'air de rien à la façon du Schtroumff Farceur, Mais si ton site ou ton réseau est totalitaire, J' fais un Apple d'air sur ton compte bancaire, Et t'apporte une addition sévère même si tu changes de Serveur, Ni Pirate, ni Corsaire, Ratisser la toile c'est ma manière, A moi d'être un Héros Super tout comme Peter Parker, D'ici à ce qu'on me mette à découvert, Ou qu'on m'enterre net au cimetière, Je resterai fier de mes dires et et mes faires : Gentlem@n Hacker, Gentlem@n Hacker.
5.
Statues Quo 03:22
STATUES QUO - Paroles & Musique : Louis Coumian Désabusé, d’ennui usé, j’ai décidé d’aller au musée, Et dans les galeries du Louvre rempli, de mettre la main sur la femme de ma nuit, Mais toutes ces visiteuses en thèses, semblent insensibles à mes envies d’baise, Et comme elles ne font que prendre des notes, bah je tapote, pour voir ce qu’elles portent, string ou culotte ? Et là : Poum ! Paf ! Tête de travers, je bouffe des baffes et mords la poussière, Et lassé de ces femmes qui me tuent, je décide de me rabattre sur les statues, C’est dans la Salle des Caryatides, que les Aphrodites loin d’être candides, Titillent, excitent ma libido, tant elles se targuent, me draguent en narguant mon ego, C’est ainsi que ces douces Trois Grâces, se révèlent vite être en fait trois garces, Mais somme toute trois femmes parfaites : bien foutues, déjà nues, sans vertu et sans tête, Ah ! Cette vie qui me retient, du marbre de leurs peaux, du marbre de leurs seins, Ah ! Cette vie qui me retient, du marbre de leurs dos, du marbre de leurs reins, Continuant dans l’aile Sully, ignorant les rappels de la vigie, Je touche attouche à tout ce qui passe, ces femmes ne me font jamais la grimace, Ni blondes ni brunes toutes m’allument, et aucune ne me taxe une thune, Je marierai celle qui me tendra les bras, merde ! Celle-la n’en a pas, C’est toi chère Vénus de Milo, pourtant pour le reste t’as tout ce qui faut, Sauf peut-être juste le drap en trop, et des orteils un tantinet trop gros, Hey ! Pssst ! Pour quitter la place, pique donc les ailes de la Samothrace, Et allons faire en Grèce une croisière, et te refaire faire des bras dans une carrière, Mais Hop ! Stop ! On m’arrête, menottes aux poings, mains sur la tête, Et reconduit par une cohorte, Vénus je me vois foutre à la porte, Ah ! Cette vie qui me retient, du marbre de ta peau, du marbre de tes seins, Ah ! Cette vie qui me retient, du marbre de ton dos, du marbre de tes reins, Viré du Louvre Quai Malaquais, car bien mal acquis ne profite jamais, Je tombe sur une statue de la République qui m’impose un flash-back bénéfique, Enfant déjà portant le bonnet d’âne, je lorgnais sur le buste de Marianne, Et même si dans mon slip je n’en menais pas large, j’avais pas l’âge, mais rêvais de défaire son corsage, Donc Louis assume tes travers, car si c’est les statues qu’tu préfères, C’est peut-être bien que bien qu’elles en aient l’air, elles au moins n’ont pas un coeur de pierre, Alors quitte vite ce monde à la con, pique donc une tête dans un bain de béton, Et fais toi mettre aux côtés de Vénus pour, goûter à l’éternité de l’Amour, Loin de cette vie qui te retient, du marbre de sa peau, du marbre de ses seins, Loin de cette vie qui te retient, du marbre de son dos, du marbre de ses reins, Loin de cette vie qui te retient, du marbre des assauts de son bassin, Loin de cette vie qui te retient, du marbre du repos de ses câlins.
6.
Rouge 02:58
ROUGE - Paroles & Musique : Louis Coumian Des rouges arrivent et me reviennent, Comme le Ballon qui se promène, Comme le Chaperon guetté par la mort, Comme Rackam et son Trésor, Comme le Nez du clown sur la piste, Comme le Vin qui le rend triste, Comme les yeux quand on a pleuré, Comme le Feu que bourré tu as grillé, Comme ce Quartier d’Amsterdam, Comme le Carton de Zidane, Comme le Tapis qui nous abrutis, Comme le Cercle qui nous réunis, Comme le Drapeau d’un rêve de Paris, Comme l’Etoile qui l’aura trahi, Comme l’Affiche de nos résistants, Comme le Pull-Over d’un innocent, Comme le sang de tous les mensonges, Comme la Croix et le Croissant qui l’éponge, Comme la Planète qui nous sauvera, Comme le Bouton qui nous tuera, Rouges au choix.
7.
Dors d'Or 03:47
DORS D'OR - Paroles & Musique : Louis Coumian Le réveil sonne et le somme s’altère, Debout l’Homme quand sens et conscience s’affairent, Dur de dire non aux douceurs de son lit, Quand on sait de quoi sera fait aujourd’hui, Fatigués on part bosser pour honorer l’acte, De son bail d’appartement dans un baillement d’appart, Sur le périph’ les chauffeurs tous crevés pensent : panne d’oreiller mais c’est la panne d’essence, Des flics si nazes qu’ils bossent sous couverture, Les avocats eux plaident et en assises, biensûr, Et comme les députés filent dans leur chambre, tes paupières lourdes se mettent à descendre, Alors dors, Dors d’or, Toi qui manque de sommeil, Alors dors, Dors d’or, Demain sera mieux que la veille, Alors dors Dors d’Or, Cours aux Pays des Merveilles, Alors dors, Dors d’or, Jusqu’à ce que ne resonne le réveil, Les promoteurs font des cités dortoirs, Les marchands de bien marchands de sable payent au noir, Les chômeurs cernés par les dettes étouffent, Quand les flambeurs de poker se couchent, Tout le monde lutte coute que coute même épuisé, Comme un boxeur qui voudrait dormir à poings fermés, Et comme je te souhaite de pas connaitre les mêmes pleurs, D’un notaire en qui sommeille un auteur, Alors dors, Dors d’or, Dans ton plus simple appareil, Alors dors, Dors d’or, Repose sur tes deux oreilles, Alors dors Dors d’Or, Et puisque les jours sont pareils, Alors dors, Dors d’or, Jusqu’à ce que la mort te réveille.
8.
JEUNE FILLE STYLEE - Paroles & Musique : Louis Coumian Jeune fille qui attendait hier, attendait la mort de l’hiver, La Saint Sylvère comme chaque année, Pupille d’Amour, célibataire, futile ta cour aux hommes d’affaire, Fini l’enfer car c’est l’été, Ton shopping aux rayons la veille sous les premiers rayons de soleil, Egalent bien tous les défilés, Tes fichus, strings et boucles d’oreilles me sortent me tirent de mon sommeil, Où j’aurai bien pu rester, Jeune fille stylée des rues d’été, Sache que tu fais battre mon coeur, quand tes jambes sous ta robe à fleurs, Dans l’insouscience battent le pavé, Jeune fille stylée des rues d’été, Tu as l’art, la manière, l’adresse, de faire rêver de tes caresses, Et d’un plongeon dans ton décoleté, Jeune fille tes airs de buissonière redonnent aux vieux loups solitaires, Sédentaires l’envie de voyager, Car loin des stations balnéaires, tu transformes la ville en Cythère, Fais renaître la plage sous les pavés, Avec toi le métro vers Asnières devient même croisière pour le Cap Vert, Mais si j’ai pas le ticket : pas de billet, Et c’est là le paradoxe amer, quand tu embarques pour d’autres terres, Moi je reste à quai sans t’accoster, Jeune fille stylée des rues d’été, Tu me croise et moi je m’arrête, et tu me fais tourner la tête, Sur tes cheveux de Liberté, Jeune fille stylée des rues d’été, Et les doux rivages de ton visage, s’effacent alors comme un mirage, La faute à ma timidité, Jeune fille d’aujourd’hui bouffeuse d’hommes, maintenant c’est toi qui croque la pomme, Sans aller à Rome pour te confesser, Certains voudraient que tu restes nonne lorsqu’ils voient la rondeur des sommes, Que sans t’avoir ils ont claqué, Au Diable tous leurs commentaires, c’est l’évasion d’une prisonnière, Que ne comprennnent pas les entêtés, Mais mon coup de foudre sans coup de tonnerre, se jouera t’il sur un coup de poker ? Moi qui voudrait tant te marier, Jeune fille stylée des rues d’été, Sirène ou reine en Si Majeur, Marlène Garance ou Dame de Coeur, Tu es la seule vraie vérité, Jeune fille stylée des rues d’été, Tu as fais chavirés mille coeurs, à Paris surement ailleur, A chaque rue que tu as traversé, Mais jeune fille stylée des rues d’été, Prends garde à l’automne et ses vers, et à ce que la Chanson de Prévert, Ne recouvre un amour mort-né, Jeune fille stylée des rues d’été, Toi et moi kiffons ta splendeur, avant que ne passent les heures, Que le soleil n’aille ne coucher, Jeune fille stylée des rues d’été.
9.
CRIMES DE FER - Paroles & Musique : Louis Coumian Les plaintes et les cris t’interpellent, Les morts grattent dans ton oreille, Le sang qui coule recouvre les chaines, Le temps qui passe couvre la peine, Ah mais les morts grondent, Et de notre pauvre monde, Je sens les craintes j’entends les plaintes et les appels, Gouttes de prières tombées du ciel, Se Scio j’oscille vers les arènes, Des lions applaudis par des hyènes, Pauvres Sioux pauvres Cheyennes, Pauvre ébène pendue aux chênes, Ah les traitres immondes, Que sont les maîtres du Monde, Qui tamponnent des tonnes de femmes et d’hommes jusqu’en Pologne, Qui tombent comme les feuilles en automne, Pour des crimes de fer, des crimes de fous, Des crimes de frères, massacres de dégout, Pour un prime de terre ou une figure de proue, Mais ne les oublie pas, ni toi ni eux ni nous, Et ne les copie pas sur toi sur eux sur vous, N’y adhèrre pas ni toi ni eux ni nous, N’oublie pas c’est tout, A mort cria Catherine la reine, Vers la mort vont ceux de Cayenne, Critique la haine mais la tienne n’amène, Qu’une place rouge sang à Tien An Men, Et à la longue toutes ces mauvaises ondes, Sectionnent des tonnes d’hommes et de femmes à Erevan, De quoi remplir le Lac de Sevan, Pédale de bûchers en Gégènes, Et pelotons face aux madrilènes, Afin qu’Hiroshima faigne, Une resurection palestinienne, Car les bombes cadavérisent les Mekong, Et violent Shérahazade comme elles brulent tout Manhattan, De quoi saigner hommes enfants femmes, Refrain
10.
Le Placebo 03:28
LE PLACEBO - Paroles & Musique : Louis Coumian Naître ou ne pas naître, élu pour connaître, être amené à devenir, Terre est la planète, petit d’Homme tète, prêt ou prête à subir, De crèches obsolètes en maternelles et caetera faut grandir, Sans avoir dans la tête que l’on aurait pu être un autre et voir l’avenir à Rio, La vie se place et panse ses plaies sans placebo, Mais changement de parcours on s’emmerde en cours et on casse sa tirelire, Entre la nuit le jour, rose ou réséda, pour ou contre, il faut bien choisir, Devenir muet sourd, attendant le reste et l’ Amour qui peinent à venir, Kiffer sa ganja, écouter son son, s’endormir en rêvant de Rio, La vie se trace en faisant place au placebo, Vacciné majeur, formé pour être le meilleur, faut bien s’en sortir, Bosser à toute allure à l’heure, être chanteur ou bâtir un empire, Mix bonheur malheur, d’aventures en humeurs en palais des plaisirs, Contenir ses peurs, sauvegarder son beurre en projetant de partir pour Rio, La vie se passe hélas grâce au placebo, Oui promis promise en mairie en église pour le meilleur et le pire, Lune de miel à Venise, l’Amour dans la brise, enfants à venir, Mais l’air de Paris grise et coule la Seine sous le Pont Des Soupirs, Carnaval de crises entre ses kids en ayant préféré celui de Rio, La vie se casse si l’on remplace son placebo, A force de présent on a forcément plus de souvenirs que d’avenir, Des petits enfants, preuve qu’avec le temps Peter Pan peut vieillir, On comprend qu’avant il fallait rentrer, seulement maintenant il faut partir, Et comme un éléphant, fermer ses yeux grands espérant les rouvrir à Rio, La vie s’efface lasse de l’effet placebo.

credits

released October 1, 2009

Réalisé par LOUIS COUMIAN
Paroles & Musique LOUIS COUMIAN
Enregistré aux STUDIOS DAVOUT par FERNANDO PEREIRA LOPES et JEAN-LOUP MORETTE assistés par CÉCILE COUTELIER.
Mixé aux STUDIOS DAVOUT par FERNANDO PEREIRA LOPES
Masterisé par BRUNO GRUEL pour ELEKTRA MASTERING
Chant : LOUIS COUMIAN
Piano, Orgue Hammond : FRANK HERRGOTT
Contrebasse : SERGE TURETTA
Batterie : LAURENT LOCURATOLO
Accordéon : HENRI LEMARCHAND
Guitares : JEAN-BAPTISTE GAUDRAY
Trombone : MARC ROGER
Trompette : MICHEL FALLET
Saxophones alto, ténor & Clarinette : FRANCIS COURNET
Violon : MARIUS ANDREÏ
Basse sur Enzo : MARC UPSON
Guitare sur Enzo : LOUIS COUMIAN
Volutes sur Une Autre Vie : NICOLE MONESTIER
Choeurs sur Marine Lola : ZAZ
Photos and Artwork : MATHIEU BERTIN

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Lou Coum - Louis Coumian - King Louis Paris, France

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